la fin
Lucia et haïa retournèrent au village et elles mirent un peu de potion par terre : la pâte collante disparaissait peu à peu et tout le monde était heureux .
Lucia et haïa retournèrent au village et elles mirent un peu de potion par terre : la pâte collante disparaissait peu à peu et tout le monde était heureux .
LA GROTTE ENCHANTÉE.
Au bout de quelques jours de marche Célestine et Iris arrivent à côté d’une grotte où est posé le Kandraigle. Cet animal très gentil décide de suivre les jeunes filles. Les trois rentrent dans la grotte où mène sans doute ce monde étrange de bonbon. Dans cette grotte ils voient un énorme monstre de pâte gluante. Le Kandraigle commence à lui lancer du feu mais Célestine lui demande d’arrêter car il va s’énerver. Célestine ressort de la grotte et se concentre pour retrouver un chemin. Iris et Kandraigle ressortent aussi de la grotte et Célestine leur annonce qu’elle a trouvé un autre chemin.
LA JUNGLE INFESTEE.
Deux jours plus tard ils arrivent dans jungle infestée de poules qui les menacent de les faire partir. Célestine dans la grotte a trouvé un petit bout de cette pâte gluante. Elle commence à le mâcher. Elle fait une bulle et ça commence à gonfler, gonfler et cette bulle engouffre toute poule existante dans cette jungle.
AU FOND DU DÉSERT
Elles partent de la jungle sur le dos de kandraigle. Célestine, Iris et kandraigle arrivent dans le désert, où ils marchent quelques pas. Célestine découvre un arbre, un seul arbre perdu dans un désert. Il a huit écorces magiques. Iris fait la courte échelle à Célestine puis elle prend les huit écorces du haut. Elles et kandraigle repartent de la jungle à pied avec un petit sac où il y a les écorces d’arbre.
Une semaine était passée et je ne comprenais toujours pas. Pourquoi moi ? Les gens ici me connaissent. Ils savent que je vais passer le trajet à me plaindre, sérieusement ils croient vraiment que je vais me salir dehors au milieu de monstres ? Cela faisait deux heures que je me plaignais, on venait de sortir de Mozart et pour le moment aucun monstre en vue, mais beaucoup de boue. Alors je fis ce que je faisais de mieux, je râlai. Mon coéquipier poussa un long soupir et avança plus vite pour rejoindre le reste du groupe. Il venait de me laisser toute seule derrière.
Je vis un buisson bouger, ça y est, je vais mourir ! Je hurlai de toutes mes forces. Un monstre sortit du buisson, je saisis mon couteau et menaçai la créature. Elle avait l’air très menaçante, prête à me sauter à la gorge et me bruler vivante. Mais dès qu’elle vit mon couteau elle se figea. Elle était terrifiée, ça se voyait, je pense qu’elle avait dû avoir peur pour ses ailes. Je la regardai et baissai mon couteau. Elle ne perdit pas de temps pour s’envoler. Mes équipiers arrivaient en courant. Je leur racontai ce qui venait de se passer, ils s’excusaient de m’avoir laissée seule, mais pourquoi je leur pardonnerais ? J’ai failli mourir à cause de ces lâches, ils n’ont pas fini de m’entendre, ça c’est sûr !
Nous continuons le chemin jusqu’à ce que, chanceuse comme je suis, je tombe dans un ravin ! Mes équipiers essayaient de me sortir de là mais rien à faire, je devais me sortir de là seule. Chose qui ne s’annonçait pas simple car j’étais complètement entourée de boue. Hors de question de me salir les mains !Cela faisait dix minutes que j’étais coincée là-dedans, tout le monde me criait de grimper mais rien n’y faisait, je ne voulais vraiment pas. Cela fais quinze minutes et je n’avais toujours pas bougé. Au final est-ce que c’est si grave que ça de me salir les mains ? Je prends mon courage à deux mains puis me décide à escalader ce grand mur boueux. Une fois arrivé en haut, j’étais sale comme je ne l’avais jamais été. Mais je l’avais fait, ça pouvait paraître basique mais il y a une semaine je ne l’aurais jamais fait. Nous avons enfin réussi à trouver le laboratoire, cet endroit me faisait vraiment froid dans le dos.
Après avoir monté les escaliers nous arrivons dans un grand hall, le sol commençait à grincer. Tout à coup devant nous apparaît le scientifique fou, mais petit problème, il était possédé par un monstre. Mes coéquipiers étaient pétrifiés lorsqu’il s’approcha de nous. Mais j’aperçus très rapidement dans son cou une boule de la matière collante qui avait envahi Mozart. Au dernier moment, quand je croyais que nous allions tous mourir, la créature de la dernière fois arriva. Désolée ma petite, mais là c’est vraiment pas le moment ! J’eus presque l’impression qu’elle m’avait souri juste avant de plonger dans le cou du scientifique et de lui brûler le caoutchouc toxique. A présent tout le monde courait pour sortir, chose que j’allais faire aussi, jusqu’à ce que j’aperçoive une de mes équipières qui s’était blessée. Je ne réfléchis pas une seconde et je me mis instantanément à courir vers elle: elle s’appuya sur moi et nous sortîmes du laboratoire.
C’était un travail magnifique pour un résultat valorisant exceptionnel : bravo aux collègues et aux élèves engagés car vous nous…
Magnifique, vivant, voire dérangeant parfois !
Je ne suis pas un fan et encore moins un expert en mangas mais j'admire la force et la beauté…