Chroniques du Collège de Danjoutin

Dans la salle noire Pixi se croyait perdue mais elle entendait comme un bruit métallique. Un robot tout mignon arriva et lui dit: « oh ça faisait longtemps que nous n’avons pas eu de visiteur, excuse-moi, je vais allumer la lumière. » Il appuya sur un bouton et la pièce se mit à éclairer de mille leds. Une énorme pièce de pixels qui bougeaient. « Là-bas c’est la porte pour sortir mais si tu tombes dans le trou qui nous sépare de la porte, tu meurs. » « Rassurant », se dit Pixi. Le robot reprit: « mais tu peux activer le pont pour passer en toute sécurité. Pour cela tu dois détruire les deux virus des deux mondes, on compte sur toi, bonne chance  »

« Comment ça bonne chance? », se dit Pixi. Mais il était trop tard. Elle était dans une forêt délimitée par de grandes barrières de métal. On ne pouvait donc pas en sortir. Sur chacun des arbres, une inscription: « la nuit la porte des merveilles s’ouvrira mais survivre il faudra » Elle tira sur une pelle un peu enterrée dans le sol mou de la forêt. Elle creusa tout le jour puis elle s’arrêta. Elle se dit: « Comment je vais faire? La nuit arrive bientôt, je suis perdue. » Puis en se couchant sur un arbre elle se rendit compte que ce n’était pas un vrai. Elle prit la pelle et coupa l’arbre. Elle y retrouva un vieux bunker abandonné avec un journal où était inscrit: « Jour 236 ». Le sang de pixi ne fit qu’un tour « quelqu’un est resté pendant 236 jours, je suis perdue. Pixi décida de remonter à la surface mais l’accès était de nouveau bloqué. Elle s’allongea sur le lit puis dormit jusqu’à entendre un réveil. Elle se réveilla en sursaut puis elle vit que l’Accès était ouvert. Elle monta puis à son énorme surprise il faisait nuit. Elle vit un levier qu’elle activa; elle entendit le robot dire « virus 1 éliminé ». Une porte s’ouvrit mais avant de passer elle retourna dans le bunker pour voir si elle pouvait y trouver de le nourriture. A sa grande surprise elle vit une boule jaune tout collante qui faisait la lumière. La créature se retourna: elle était très mignonne puis elle cria « SLIMY » d’une voix si mignonne qu’elle nous berçait. Pixi ne pouvait que prendre la petite créature avec elle. Elle prit donc la créature qu’elle appela un slime puis elle prit la porte

Elle se retrouva dans une grotte remplie de cristaux. Au beau milieu un bouton: la voie du robot retentit. « Appuie sur le bouton et le troisième virus mourra » Pixi sentait bien que cela ne serait pas  aussi simple. Elle s’approcha du bouton et slime cria « SLIMY » . Pixi sursauta « tu m’as fais peur slime » Elle voulut appuyer sur le bouton mais un chant magnétique l’en empêcha. Un « je le savais » s’échappa de sa bouche mais au lieu de fondre en larmes comme elle l’aurait fait avant ces péripéties elle réfléchit puis une idée de génie germa. Elle attrapa slime et avec sa lumière  les cristaux se reflétèrent jusqu’au bouton. La voix du robot retentit encore une fois: « dernier virus détruit  » Pixi se fit téléporter mais juste avant elle attrapa slime. Pixi revint dans la pièce de led et se fit acclamer comme un roi puis le pont se forma et elle ouvrit la porte…

 

Il voyait un petit chat  seul  avec une belle fourrure rousse, des yeux bleus , il le prit dans ses bras mais d’un seul coup le petit chat  se transforma en gros serpent avec de longues dents pointues. Le serpent sauta sur Tom et Tom prit son couteau mais impossible de le planter , le serpent commença à ouvrir sa bouche pour le manger mais Tom planta à temps son couteau dans le serpent , il s’écoula par terre mort .

Tom et sa mamie montèrent sur une énorme montagne pour avoir une vue sur toute la forêt , une petite pierre tomba de la montagne à côté de sa mamie. Il monta encore un petit peu et une autre pierre tomba, suivie de plein d’autres pierres. Tom et sa mamie les esquivèrent mais les pierres allaient de plus en plus vite et se reproduisaient par centaines . Tom et sa mamie coururent très vite en esquivant encore les pierres qui tombaient , ils étaient à quelques mètres du sommet mais une pierre bloqua le passage alors Tom monta au-dessus de la pierre et  aida sa mamie à monter. Maintenant ils étaient en sécurité .

Tom prit un radeau pour traverser le lac , sa mamie monta sur le radeau avec Tom qui le poussait pour aller dans l’eau , ils étaient tous les deux sur le radeau quand d’un seul coup le radeau commença à couler dans l eau , la mamie et Tom sautèrent dans l’eau sauf que dans l’eau il y avait plein de requins . D’un sel coup ils commencèrent à nager très vite pour rejoindre la terre , les requins nageaient très vite et ouvrirent les dents pour dévorer la mamie. Sa mamie n’arrivait plus à bouger elle cria à Tom de partir sans elle. Tom partit très vite très triste de partir sans sa mamie  . pendant ce temps les requins dévoraient la mamie avec leur dent pointue . Tom regagna la terre en pleurant car sa mamie avait perdu la vie .

 

Je suis parti à  l’aventure pour chercher une idée pour sauver la ville. J’ai dû aller en pleine mer avec un radeau et d’un seul coup surgit un gros poisson clown. Il était gros, laid, sans dents…il m’a demandé ce que je faisais là, en pleine mer, il m’a posé un calcul, il m’a dit: « sois concentré, 30+60-12=…allez mon petit, si tu ne veux pas aller à l’enfer ». « J’ai trouvé! C’est  78! » Et le poisson clown redevint un gentil poisson.

Ensuite ma deuxième épreuve c’était l’arbre. Il était grand, moche, laid, avec de vieilles mains toutes moches. Il m’a pris dans ses bras et m’a dit: « Mon petit, sois détendu je vais te poser une énigme. Tu es prêt? » « Oui je suis prêt. » « Qu’est ce qui est plus fort que dieu, les riches en ont besoin et les pauvres en ont, alors c’est quoi, alors mon grand garçon c’est quoi, alors allez, il ne te reste plus que 30 secondes, allez 19 18 17 16 15 … » « J’ai trouvé! C’est rien! » Et l’arbre redevint un bel arbre avec des feuilles.

Ma dernière épreuve c’était un village qui s’appelait lilas. C’était des gens très sympas. Ils m’ont donné tout ce que je voulais. J’ai eu un gros goûter avec de la boisson. J’ai passé dix neuf jours avec eux car il neigeait. Ils m’ont dit que je ne pouvais pas partir quand il neigeait. Ils m’ont demandé pourquoi j’étais pressé. Je leur ai dit que je devais rentrer. Au bout de dix neuf jours je fis ma valise et je partis le matin très tôt.