Jamais
Le froid glacial tape à la figure.
Les tranchées côté Français en pente et inexistantes.
Les tranchées côté Allemand en pierre et intactes.
Les barbelés, les sacs de ciment, les tombes.
Les vestiges sont impactés sur la place.
Je ne veux jamais une guerre pareille.
Un camp de concentration horrible.
Où les déportes étaient des cobayes.
Plusieurs dizaines de milliers de déportés.
Des séries inhumaines dans les blocs cellulaires de Struthof.
Novembre 1944 enfin la libération.
La tristesse comme une épine lancinante.