Catégorie : Voyages imaginaires pour vaincre la pâte à mâcher !

Contre la pâte gluante.

Célestine, une jeune fille de 12 ans , petite, fine, aux yeux vert émeraude, avait des cheveux bruns et bouclés. Elle habitait dans une grande maison située au cœur de la rue Mozart.                       Célestine aimait plus que tout la mode. Un jour, sa mère l’ emmena faire les boutiques et Célestine s’ acheta une tenue pour la rentrée des classes. Quelques semaines plus tard le jour était venu. Le matin, elle enfila sa nouvelle tenue et arriva à l’ école avec sa meilleur ami Iris. Leurs camarades commencèrent à leur coller cette pâte visqueuse et étrange car  personne ne les aimaient. Cette étrange pâte vient d’un monde de bonbon très bizarre car tout le monde là-bas mange cette pâte qui se multiplie par 1000 quand on en mange.                                                                           Le soir les filles décidèrent de partir à la recherche du remède contre la pâte gluante.

 

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LA GROTTE ENCHANTÉE.

Au bout de quelques jours de marche Célestine et Iris arrivent à côté d’une grotte où est posé le Kandraigle. Cet animal très gentil décide de suivre les jeunes filles. Les trois rentrent dans la grotte où mène sans doute ce monde étrange de bonbon. Dans cette grotte ils voient un énorme monstre de pâte gluante. Le Kandraigle commence à lui  lancer du feu mais Célestine lui demande d’arrêter car il va s’énerver. Célestine ressort de la grotte et se concentre pour retrouver un chemin. Iris et Kandraigle  ressortent aussi de la grotte et Célestine leur annonce qu’elle a trouvé un autre chemin.

LA JUNGLE INFESTEE.

Deux jours plus tard ils arrivent dans jungle infestée de poules qui les menacent de les faire partir.  Célestine dans la grotte a trouvé un petit bout de cette pâte gluante. Elle commence à le mâcher. Elle fait une bulle et ça commence à gonfler, gonfler et cette bulle engouffre toute poule existante dans cette jungle.

AU FOND DU DÉSERT

Elles partent de la jungle sur le dos de kandraigle. Célestine, Iris et kandraigle arrivent dans le désert, où ils marchent quelques pas. Célestine découvre un arbre, un seul arbre perdu dans un désert. Il a huit écorces magiques. Iris fait la courte échelle à Célestine puis elle prend les huit écorces du haut. Elles et kandraigle repartent de la jungle à pied avec un petit sac où il y a les écorces d’arbre.

Elles repartent en vol sur le dos de kandraigle. Ils repassent devant la grotte. Célestine demande à kandraigle de les poser sur le sol. Célstine et Iris ordonnent à kandraigle de rester là en cas d’urgence. Elles rentrent dans la grotte et Célestine prend une écorce puis la lance sur le monstre. Il commence à fondre sur place, elle et Iris retrouvent kandraigle. Elles proposent à kandraigle de rester ici car tout le monde dans la rue Mozart allait vouloir le chasser. Elles reprennent leur chemin sans kandraigle car les filles veulent le protéger. Après quelque jours de tristesse elles rentrent au village. Célestine pose une écorce sur le sol et tout le monde entier devient désinfecté de cette pâte gluante en quelques secondes. Deux semaines plus tard le maire remet une médaille à Célestine et une à Iris car elle a aussi affronté le même danger que Célestine. Tout le monde vécut heureux et Célestine et Iris eurent plein d’amies.

Un étrange phénomène

Il y a très longtemps dans un village vivaient Éline et ses parents. Éline allait au collège chaque matin et rentrait chaque soir . Un matin en allant au collège elle marcha sur quelque chose de gluant et du jour au lendemain il y eut un phénomène étrange. Cette pâte gluante où Éline avait marché le jour d’avant venait d’envahir la cour. Une personne vint lui parler. Cette personne était un homme grand, brun, il avait l’air d’être furieux. Il lui dit qu’elle devrait trouver la cause de la propagation de cette chose . L’homme partit.

Le soir en rentrant du collège Éline se posa bien des questions : qui était cet homme ? Pourquoi cette pâte se propage-t-elle aussi rapidement ? Elle se posa mille et une questions en même temps. En arrivant chez elle, elle prit une feuille et commença à noter chaque détail important qui c’était passé entre hier et aujourd’hui. Elle écrivit pendant au moins une bonne heure si ça n’était pas plus. Au bout d’un moment elle tomba de fatigue.

Le lendemain elle se réveilla et alla au collège comme chaque jour et comme chaque personne de quatorze ans mais aujourd’hui c’était différent, comme une impression de déjà vu. Elle continua de marcher et marcha dans une flaque rose. Elle avait le pied collé dans cette matière. Elle dut enlever sa chaussure pour rentrer chez elle et changer de paire. En arrivant dans sa chambre elle trouva une feuille. Sur cette feuille il y avait plein de choses écrites sur un homme et sur la même flaque rose. Pourtant elle ne se souvenait absolument pas de ces deux journées. Pourtant c’était bien son écriture. Elle se rendit compte un peu tard qu’elle était en retard alors elle mit ses chaussures et partit à grandes enjambées jusqu’au collège. En arrivant elle eut  un retard. A la récréation elle se rendit compte que cette matière visqueuse était partout dans la cour.

La grotte

Maintenant elle se trouvait devant une grotte étrange. Elle ne voulut pas y entrer tout de suite car la nuit tombait . Éline mangea à peine, elle alla sous un arbre géant puis tomba de fatigue. Le lendemain, en se réveillant elle ne prit même pas le temps de manger quelque chose. En arrivant à l’entrée de la grotte, elle vit que dans cette grotte il y avait cette substance rose. Éline pensa que ce n’était qu’une coïncidence. Elle continua à s’enfoncer dans la grotte qui devenait de plus en plus sombre. Ça faisait au moins une ou deux heures qu’Éline marchait. D’un coup elle vit deux yeux rouges qui avaient l’air de se rapprocher de plus en plus. Éline trouva une cachette puis regarda le monstre : c’était un loup très grand avec des yeux rouge vif. Le monstre passa devant elle puis sans la voir continua son chemin, Éline chercha comment elle pouvait faire pour s’échapper, puis au bout de quelques minutes elle trouva comment faire, elle allait prendre une pierre pour la jeter et attirer la bête. Cela fonctionna Éline courut aussi vite qu’elle put. En sortant de la grotte elle s’assit par terre pour reprendre son souffle, elle mangea un peu et la nuit tombait déjà. Éline s’endormit paisiblement.

Autival

Le lendemain, elle ressentait qu’il y avait quelqu’un qui était allongé à côté d’elle. Elle ouvrit les yeux et vit la bête mais Éline n’avait pas peur car elle se souvenait d’une histoire que sa grand-mère lui racontait chaque soir avant qu’elle aille dormir. Cette histoire parlait d’un animal qui appelait Autival, dans ce conte on racontait que cet animal était extrêmement gentil et s’il s’approchait de nous par volonté ce conte racontait qu’il nous suivrait et nous défendrait. Si Éline se fiait à cette histoire cela voulait dire quelle pouvait lui faire confiance les yeux fermés. L’animal commença à se réveiller et Éline ferma les yeux. Autival se leva puis commença sentir Éline, elle n’osa pas bouger. L’animal essayait de réveiller Éline qui ne bougeait toujours pas, au bout d’une petite minute Éline fit semblant de se réveiller, elle comprit vite qu’elle devait partir. En fait, la bête voulait juste la prévenir du danger qui arrivait, c’était une énorme chose qui avait la couleur et la substance de cette pâte pour laquelle Éline était ici. Elle se leva,prit toutes ses affaires et courut le plus vite possible. Elle arriva devait un endroit qu’elle n’avait jamais vu ailleurs. Elle venait d’échapper à cette chose pour maintenant se retrouver devant quelque chose d’horrible qui la terrorisait depuis toujours.

Le grand saut

Éline se trouvait devant sa plus grande phobie le vide autour d’elle plus rien ni personne sauf Autival qui l’avait suivie. En face il y avait une falaise à un peu près trois mètres plus loin. L’animal sauta de l’autre côté sans elle puis il refit le saut jusqu’à Éline qui monta sur le dos de l’animal puis sauta de l’autre côté. De l’autre côté il y avait une fleur de couleur or qui brillait de mille feux, Éline prit la fleur puis partit.

Éline et Autival firent le retour ensemble, la nuit était déjà là. Ils s’arrêtèrent dans la grotte de l’animal pour passer la nuit. Éline fit du feu et Autival se mit près d’elle. L’animal s’était endormi alors qu’Éline pensait au lendemain, elle ne savait pas si elle allait laisser l’animal ou si elle rentrait avec. Le lendemain Éline se leva puis partit sans Autival ce qui lui brisa le cœur mais c’était mieux pour la bête. En arrivant Éline se rendit compte qu’il était temps qu’elle revienne car tout le village était envahi de le matière collante. A l’entrée du village quelqu’un s’approchait d’Éline et lui demanda si elle avait la fleur, Éline lui répondit oui mais avant de lui donner la fleur elle voulait savoir qui était  cette personne et ce qu’était cette matière gluante. La personne lui dit qu’elle s’appelait Alina, qu’elle connaissait Éline depuis qu’elle était petite et que cette pâte gluante s’appelait chewing-gum. Éline lui donna la fleur puis Alina enleva ses pétales, les transforma en poudre puis les mit dans un souffleur. Les deux filles montèrent en haut de la plus haute colline puis soufflèrent la poudre de couleur or sur le petit village: le chewing-gum fondit et la vie reprit son cours. Ce jour-là Éline pensa à tout ce qu’elle avait vécu; et si c’était un rêve ?

La maladie

Dans le petit village de Mozart, une maladie était survenue. Cette maladie était contagieuse, elle s’appelait la chewinggrippe.

Dans la rue de La Flûte Enchantée vivait une jeune fille nommée Alizée, ses cheveux  bruns étaient magnifiques et ses yeux bleus saphir brillaient de mille feux.  Elle alla au collège Des Noces De Figaro et elle monta en salle de français avec  Mme Anna Maria. Les élèves lisaient un livre tiré de faits réels, c’était une légende qui parlait de la maladie de chewinggrippe. Ça  interpella directement Alizée qui lut le prochain chapitre. Le titre du chapitre 3 est « La guérison », elle le lut rapidement et sut qu’elle avait trouvé la solution pour cette maladie répandue depuis quelques semaines.

La cloche retentit, elle se précipita vers les casiers et prit rapidement ses affaires, rentra immédiatement et continua à lire la suite de son livre.

Il fallait explorer des villages inconnus, traverser des rivières et des forêts infestées de bêtes sauvages. Mais dans le livre, la suite de la page était arrachée.

 

 

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Alizée vit une forêt et y rentra, elle entendait des bruits  mystérieux et effrayants  qui venaient du nord. Elle continua son voyage très inquiète de ce qu’elle pourrait découvrir. Un peu plus loin elle vit un tunnel et décida de passer dedans. Elle se dit que c’était plus prudent pour éviter tout contacte avec une bête sauvage. Alizée voyait  de la lumière, elle était si contente qu’elle courut vers elle mais petit à petit elle voyait que « la lumière » devenait de plus en plus immense. Elle eut si peur qu’elle avait crié de toutes ses forces pour effrayer la chose. Mais ça ne lui faisait rien, ils se regardèrent les deux dans les yeux et elle vit que la bête ne lui laissait aucune chance de s’enfuir. Il lui mit un gros coup d’aile et elle voltigea dans l’air. La chose allait lui remettre un coup d’aile mais elle cria  » NON! s’il vous plait. Je ferai ce que vous voudrez. » et la chose s’arrêta d’un coup sec. Ils se regardèrent et eurent besoin chacun de l’aide de l’autre car les deux avaient un but précis. Ils continuèrent leur chemin.

Ils arrivèrent devant un chemin avec une pancarte où avait était marqué  » les arbres enchantés « . Elle vit un village, il ressemblait énormément à ceux de ses rêves qu’elle faisait chaque nuit. C’était très étrange. Mais la nuit commençait à tomber, donc elle décida de dormir dans une des petites maisons. Il y avait PERSONNE, pas un chat, la seule compagnie qu’elle avait ,  c’était un rat et la liauvairie. Il n’y avait pas de couvertures mais qu’ un matelas tout sale, avec une table en bois en train de moisir et au plafond, des gouttes de pluies tombées sur le radiateur usé. Elle avait froid et la liauvairie le sentait, alors elle s’enroula  vers elle. Elles dormirent profondément.

Le lendemain matin, elle se réveilla et vit que la liauvairie était partie. Son ventre gargouillait , depuis quatre jours,  elle n’avait  ni eau et  ni nourriture. La liauvairie était rentrée avec un chevreuil dans la gueule. Elle avait hâte mais aussi de la peine pour ce pauvre animal. Dans l’après-midi, elle alla vers des arbres pour grignoter. Mais ce qu’elle ne savait pas c’est que ces arbres étaient vivant. Alizée sentait qu’on la compressait au ventre, et en effet c’était les arbres avec leur branches. Elle se débattait comme elle le pouvait, et elle frappa avec ses pieds sur les racines qui ressortaient de la terre encore humide. L’arbre souffrait et arrêta net. Elle courut de toutes ses forces et trébucha sur un caillou. Elle regarda plus près et vit qu’il y avait des écritures, ça parlait  de la façon de détruire ces arbres.Il fallait enlever la base de l’arbre, c’était le cœur. Il fallait aller au village de Lannel pour trouver un grand chêne et lui arracher le cœur. Elles étaient prêtes pour partir au village de Lannel. Enfin arrivées, elle vit un lapin, mais celui-ci n’était pas comme les autres. Il était d’un bleu si beau qu’elle voulut l’attraper mais il courut vite et des feux follets apparurent. Ils les menaient vers le chêne et ils durent attraper le cœur mais c’était plus difficile que prévu. Elle dut monter une falaise pour descendre avec une para-voile que lui avait donné un voyageur. Elle fut arrivée et sauta puis arriva au centre du chêne et elle lui arracha le cœur. Le lapin était revenu et reparti en laissant des feux follets derrière lui. Elle les suivit et arriva devant une grotte. Elle y rentra et vit sur les parois de la grotte des écritures et même parfois quelques mots mais pas français. Ils étaient en Latin, elle le traduisit:

_ »Pour détruire la maladie il faut un produit fait à base d’une  fleur de lys, le sang du cœur du grand chêne et une larme de bête sauvage. »

Elle y alla aussi vite qu’elle le put pour trouver tout ce dont elle avait besoin. Elle y trouva  la fleur de lys, y compressa le sang du cœur mais elle n’avait pas de larme de bête sauvage alors elle demanda à la liauvairie si elle ne pouvait pas  pleurer mais ces bêtes ne pleurent jamais. Mais un beau jour pendant que la liauvairie dormait Alizée se réveilla et vit qu’une goutte tombait des yeux de l’animal alors elle prit rapidement un pot et la mit dedans. Elle l’avait eue et réveilla la liauvairie lui disant qu’il fallait vite repartir, retourner à la grotte. Elles arrivèrent et mirent tous les ingrédients et bibidi bobidi bou! Cela faisait une goutte d’eau et elle se demandait comment elle allait faire pour que tout le monde soit guéri. Elle sortit et vit que sur les murs rocheux de la grotte il y avait des dessins. Il y avait une espèce d’animal volant qui prenait le petit tube où avait été mise la goutte d’eau et le lançait dans le ciel et tout retombait comme de la pluie et plus personne ne se souvenait de ce qui s’était  passé. Et ce qui a été dit c’est ce qui s’est exactement passé.

Alizée, fière de ce qu’elle avait fait, voulait le dire à tous ses amis mais personne ne l’aurait cru. Alors, elle retourna en classe, mais le plus étrange c’est que le livre qu’elle avait lu avait comme par magie disparu. Mais le plus important pour elle, c’était que son village était guéri, avec les habitants, qui étaient tous heureux.

Le soir même, par la fenêtre de chez elle, elle vit la liauvairie et le lapin bleu avec ses feux follets, lui faisant signe.

Alizée fut la jeune fille la plus heureuse du monde.

 

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