Le Struthof

Alignés face au nord, au froid glacial du soir.

Dans les murs du Struthof, le camp lieu de crimes et horreurs.

Tous les jours c’était de la souffrance, la peur et la tristesse.

Plus la souffrance était forte et plus la mort nous rattrapait

Les matins étaient très agités à cause des coups de fouet des allemands nazis

On travaillait tous les jours très dur et on n’avait presque rien à manger.

Des hommes, des femmes, des enfants ont disparu.

Des torrents de sang et des larmes coulaient tous les jours.

Après avoir été tués on était brûlés et nos cendres servaient à chauffer l’eau de la douche des nazis.

Impossible d’en sortir de ce cauchemar, on était emprisonnés comme dans une cage à rats.