L’ENFER DES VOSGES
Quand on passe cette barrière boisée
On se sent dépassé
Tous mes sentiments sont bouleversés
Devant ces salles et ces objets hantés.
Tous ces déportés assassinés, pendus ou brûlés
Car eux et ses sauvages n’avaient pas les mêmes idées
Mais toutes ces personnes sacrifiées
Pour qu’aujourd’hui nous vivions dans un pays de liberté.
Ces tranchées au-dessus d’une colline
Côté allemand, aucune ruine
Mais le côté français lui avait triste mine
Que de mines, de barbelés et d’épines.
Tous ces objets retrouvés,
Ces corps toujours enterrés,
Je n’ai pas de mots pour décrire
La vie que les soldats ont dû subir.
Le Linge nous a rappelé
De respecter les soldats français et étrangers
Ainsi nous avons découvert
L’enfer du camp de Natzwiller.