Toutes ces tombes alignées
Le silence des tranchées
Tout cela me glaçait le sang
Quand je pense à tout ce temps passé dedans
Le camp de concentration
Me donnait des frissons
Tous ces Allemands et Français
Passaient leur temps à travailler
Tout ce que je me disais
C’est que j’avais de la chance de ne pas être né
Le froid glacial tape à la figure.
Les tranchées côté Français en pente et inexistantes.
Les tranchées côté Allemand en pierre et intactes.
Les barbelés, les sacs de ciment, les tombes.
Les vestiges sont impactés sur la place.
Je ne veux jamais une guerre pareille.
Un camp de concentration horrible.
Où les déportes étaient des cobayes.
Plusieurs dizaines de milliers de déportés.
Des séries inhumaines dans les blocs cellulaires de Struthof.
Novembre 1944 enfin la libération.
La tristesse comme une épine lancinante.
A peine arrivés, nos yeux se sont rivés
Sur ces tombes par milliers
Sur celle-ci, gravé,
Le nom de tous ces guerriers
Qui s’étaient tous sacrifiés
Pour leur France bien aimée
On imaginait le nombre de personnes attristées
Par toutes ces âmes assassinées
Dont les souvenirs sont restés
Dans le cœur d’un pays mortifié
C’était un travail magnifique pour un résultat valorisant exceptionnel : bravo aux collègues et aux élèves engagés car vous nous…
Magnifique, vivant, voire dérangeant parfois !
Je ne suis pas un fan et encore moins un expert en mangas mais j'admire la force et la beauté…