Catégorie : Analyse et critique d’oeuvres

Elle l’a bien en main!

Ce tableau est tout aussi cruel que les autres, la dame fait penser à un cannibaleLOVE_BITE_Lipton_e. Cela me fait penser qu’ elle n’aimait pas son enfant. Cela peut laisser penser que l’enfant a sûrement fait des bêtises de petit comme avoir touché  à une chose qu’il ne fallait pas, mais la question qui reste a poser est de savoir si il a vraiment fait des bêtises? La façon dont elle tient l’enfant me fait penser à la façon de tenir une pomme que nous allons croquer .

rédigé par Bryan et Victor

 

 

Sera-t-il sauvé ?

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Une femme portant dans ses bras un enfant blessé presque mort… Veut-elle le sauver ou le tuer ? A l’époque de la guerre, après un bombardement ou une fusillade… On est dans l’incertitude face à son expression, son cri peut exprimer la douleur de son enfant « mort » ou la haine de cet enfant, on ne sait pas si elle cherche à l’emporter avec elle ou le jeter. Certaines parties de l’enfant donnent l’impression d’appartenir à cette femme, leurs corps se mélangent : le bassin de l’enfant semble appartenir à la poitrine de la femme, la jambe gauche de l’enfant semble être le prolongement du bras. Un corps composé de deux êtres : un mort et un vivant : l’enfant mort complétant le corps de la femme par des nuances de gris proches. Le contraste de la chemise du garçon avec la robe noire de la femme donne une impression d’opposition forte…

Rédigé par Dany et Quentin

Maman aime m’épier …

Ce tableahttp://chroniquesdanjoutinoises.fr/WordPress3/wp-content/uploads/2014/11/LOgresse-Anne-Van-der-LIinden-2004.jpgu représente une mère qui mange ça fille comme les parents qui nous « épient », qui veulent toujours savoir toute notre vie mais que nous ne leur révélons pas. Cette femme à l’air dégoutée et pleine de haine, de colère, mais cette fille se laisse faire, elle ne se défend pas comme comme quand nous sommes obligés de faire des choses mais que nous ne sommes pas d’accord avec ça. Mais il y a une part d’humanité : l’écureuil mange tranquillement son gland comme la scène à côté de lui.

Rédigé par Mathieu et Léon

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