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L’étrange quotidien d’Aglaé

aglaerobert2 - Copie

Après avoir réfléchi à ce qui se passait tous les jours depuis maintenant 3 mois, je pris la décision d’écrire une lettre à mes parents pour leur expliquer les phénomènes étranges qui se produisaient à la maison. Je pris mon stylo et commençai à écrire. «  Papa, Maman je n’en peux plus. Vous vous demandez pourquoi ? Je vais vous le dire. Vous savez mon ours en peluche que je n’ai pas voulu emmener dans notre nouvelle maison ? Il réapparait. Oui maman je suis sûr de ne pas l’avoir mis dans les cartons. Non papa, je ne suis pas fou. Vous savez dans le garage il y a un gros tas de bois ? Il réapparait dessus. A chaque fois que je vais au garage, je le vois. Avec son sourire narquois, il a l’air de me narguer. Puis il suffit que je cligne des yeux ou que je tourne ma tête pour qu’il disparaisse. Non maman ce ne sont pas des hallucinations. J’entends des rires d’enfants qui se transforment en cris. Et le pire, c’est que je me réveille toutes les nuits, à 3h48 tapantes et je le vois au bout de mon lit, ses yeux remplacés par des flammes. Pourquoi je ne vous l’ai pas dit avant ? Je croyais aussi que j’étais fou, mais je me suis renseigné. Il y a 40 ans de cela, les habitants de cette maison ont été tués par le cadet de la famille qui avait le même ours qui réapparait sur le tas de bois et toutes les nuits. Aidez-moi !

 

L’étrange quotidien d’Elias

elias3Mon Obscurité 

Le soir dans ma chambre je ne savais pas quoi faire. Je jouais à mon téléphone, je pensais à la journée de demain ou à dormir. Mais ce soir-là je n’arrivais pas à dormir, je n’arrivais pas à penser ou même à jouer à mon téléphone. J’étais dans mon lit et l’obscurité m’atteignait, je pensais avoir une idée mais je n’en n’avais aucune. Je transpirais en dessous de mon cou, sur mes paupières et sous les aisselles. Après avoir ressenti ma peur je ne savais toujours pas quoi faire et soudain ma mère vint : << Elias je t’ai entendu crier. Est-ce que ça va ? >>

Je ne répondis pas. Après cette  » VISITE » je me sentis fort, pourquoi je ne le savais pas, je m’endormis 5 minutes après en me disant qu’il n’y avait personne. Mais ce que vous ne savez pas c’est que j’ai placé une caméra dans ma chambre.

Et le lendemain, je découvris que ! …  A suivre …

« Warm Bodies », analyse

 

Dans le film Warm Bodies, nous sommes confrontés à des zombies hors-normes : « R » et son ami, ces zombies sont particuliers car R est doué de conscience, par ailleurs il sauve une jeune fille nommée Julie de ses compatriotes et l’aide à rentrer chez elle. R laisse planer le doute sur sa nature, il a des réflexes de zombies : il se nourrit de chair humaine, marche mécaniquement mais il a aussi des caractéristiques humaines: il pense, il conduit, il parle (cela commence par de simples mots et arrive jusqu’à des phrases complètes). Au cours du film, les zombies évoluent, ils reprennent vie et se socialisent à nouveau progressivement comme cela nous est montré dans le film : leurs cœurs rebattent, ils se serrent la main, parlent entre eux, etc… Par ailleurs ils ont aussi des tentatives de rapprochement avec les humains : dans la bataille contre les squelettes, un humain se fait attaquer et se fait aider par un zombie qu’il aide par la suite à se relever. Les zombies sont pourvus de regards multiples :

  • Des Regards Vides : R et son ami sont au bar.
  • Des Regards Interrogateurs : Des zombies regardent R et Julie
  • Des Regards Bienveillants : Deux zombies regardent une image de deux personnes se tenant la main.

On observe dans le film une inversion de la nature des personnages : on dirait que R est un humain par son engagement pour changer la situation, prouver que les zombies ont changé, que leurs cœurs peuvent rebattre tandis que le père de Julie n’a visiblement qu’un seul objectif : tuer les zombies ce qui fait de lui un « zombie » car il n’a qu’un seul but à atteindre (en comparaison avec les anciens zombies dont le seul but est de se nourrir).

On constate aussi une autre inversion des personnages dans le combat contre les squelettes: les zombies agissent et combattent les squelettes tandis que les soldats ne font rien (ils se comportent comme des zombies passifs et attendent les ordres de leurs supérieurs pour attaquer avec les zombies).

Pour finir, on observe trois catégories d’êtres dans ce film : les humains, les zombies et les squelettes. Parmi les trois, les zombies semblent être les plus « humains » car ils agissent pour la paix : ils tentent d’entrer en contact avec les humains, tentent de s’allier avec eux, combattent les squelettes.

Quentin

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