Catégorie : Chroniques danjoutinoises 2014-2015

De partout….

La rumeur est comme des traînées de poudre, une fois lancée, elle ne s’arrête plus…. Et elle empoisonne de quelques heures à quelques semaines notre vie…. Elle peut-être taquine, mesquine, méchante, blessante. Elle se déplace d’oreilles à oreilles, de bouches en bouches jusqu’à ce que tout le collège soit au courant, les professeurs comme les élèves. Considéré comme amusante par les autres, elle peut nous blesser profondément. Lancée le plus souvent par notre entourage, elle donne à tous une autre vision de nous-même. Elle nous rend soit plus fort, soit plus fragile… Si faite pour nous blesser, il faut en rire, ne pas donner raison à celui qui veut blesser. Ne jamais riposter à une rumeur est la meilleure façon de la faire taire. Qu’elle soit fausse ou vraie, si vous vous défendez en démentant, les gens vont croire que vous mentez mais si vraie elle est, il est peut-être temps d’admettre que tout le monde le sache?

L’étrange quotidien de Tom


IMG_0298Cette photo représente pour moi le noir et la lumière qui forment un ensemble rassurant, mais aussi un ensemble qui, pour certaines personnes, pourrait être très inouï tant la blancheur de la neige me dit que c’est rassurant. Contrairement à la photo noire elle renvoie à un contexte très inquiétant en comparant avec la clarté de l’autre photo. La photo noire donne un côté qui forme une sorte de trou noir, l’oubli total de qui l’on est. C’est inquiétant mais cela peut aussi rassurer car lorsqu’on doit oublier ou penser à autre chose, le mieux est d’être dans le noir. Donc cette photo toute noire peut aussi renvoyer à un contexte rassurant.

Photo texte

 

L’étrange quotidien de Julie

Ilèna 033

Ce matin-ci je me préparai pour aller à mon arrêt de bus. Je dis au revoir à ma maman, puis je sortis et refermai la porte. Je crus voir quelqu’un allongé au milieu de la montée que je dois monter chaque matin. Je commençais à monter puis tout à coup quelqu’un m’attrapa la cheville… C’était un zombi, il n’avait plus de jambe, il rampait car j’essayais de me débattre mais il ne me lâcha pas…

%d blogueurs aiment cette page :