Catégorie : Etranges quotidiens…

L’étrange quotidien de Léon

1. MULLER Léon 4A Angoissant Frigo Vide

Aujourd’hui, lundi 12 janvier, après avoir fini cette dure journée de cours, j’empreinte les transports en commun. J’ai tellement faim que je piquerais les délicieux et alléchants gâteaux de la petite fille à gauche de moi, mais je résiste! En arrivant chez moi, mon chien me saute dessus pour jouer avec moi, mais je le repousse, je n’avais qu’une hâte c’était manger. Donc je retire ma veste, je lâche mon sac et je marche jusqu’au réfrigérateur, quand soudain je l’ouvre, et  une horreur me saute aux yeux, je deviens blanc et j’ai des frissons, le réfrigérateur est vide ! Je monte dans ma chambre en courant, je fouille dans tous mes tiroirs… ouf des sous, j’ai trouvé 5 petites pièces, je suis sauvé. Je file chez Mehmet,  j’ouvre la porte et je crie :

« – Un kebab sauce samouraï s’il te plaît !! »

L’étrange quotidien de Léo

leo berthet image 1

Chaque matin, après m’être réveillé, je descends au salon pour prendre mon petit déjeuner. Comme d’habitude, je retrouve mon chat, zombifié par le quotidien de sa vie, en train de dormir sur le canapé.

L’emploi du temps de mon chat n’est pas très chargé : chasser, dormir, manger, chasser, dormir, manger… C’est assez étrange car je pense que mon chat ne s’en rend même pas compte. Lorsque vient l’heure de son repas, 18h30 précise, il se réveille d’un coup, et se met à miauler tellement fort que même le carnaval de Rio n’arriverait pas à rivaliser en terme de bruits.

Comme un zombie, mon chat est dépendant de la nourriture. Si le zombie n’a pas sa part quotidienne de cerveau frais, il (re)meurt. Si mon chat n’a pas sa part quotidienne de nourriture, il meurt et c’est cela qui est le plus étrange avec lui car un chat non apprivoisé n’a besoin de personne pour vivre.

L’étrange quotidien de Camille

WP_20141105_038

Il était 14h, le soleil d’été brillait dans le ciel et il faisait au moins 28°C. La météo prévoyait du beau temps et des températures élevées jusqu’à la fin du mois de septembre. Tout était calme et paisible. Rien d’inattendu n’arrivait. Jusqu’à ce qu’un jour, d’énormes nuages noirs arrivant du nord envahissent progressivement ce lieu et le plongent dans le noir. Les lampadaires qui éclairaient les rues, luttaient contre l’obscurité qui s’était installée sur le village. Mais les nuages étaient comme attirés par une maison qui ne ressemblait pas du tout à un manoir hanté. Les ombres des arbres grandissant dans la pénombre sur les murs de la maison, la température chutant d’un coup en dessous de 0°C, il commença à pleuvoir mais pas une pluie d’été ordinaire, une pluie glaciale d’hiver: tout ceci n’avait rien de normal et de logique. Quelque chose d’étrange allait se passer et j’étais prête à parier que cela avait un rapport avec cette maison.

%d blogueurs aiment cette page :