Catégorie : Ma ville en poésie 2017

Les Résidences de Belfort

Les Résidences de Belfort

Je viens d’un quartier appelé les Résidences

Là-bas la population est majoritairement pauvre et dense,

Un endroit où tout le monde a sa façon de penser

Où les gens dealent d’la drogue et d’autres se font agresser.

Un endroit où tournent des préjugés,

Où on se fait des idées sur les personnes de cette cité.

Les immeubles sont très hauts et pleins de couleurs,

Mais quand on regarde de plus près ils sont délabrés et font sentir le malheur.

les gens sont souvent drogués, mais en réalité,

C’est leur vie difficile qui leur fait cet effet.

DELAMARE Etienne & GILGENMANN Evan 4èC

 

La rue au matin

    La rue au matin 

Au lever du soleil , le lion gouverna la ville.

Les lampadaires s’éteignirent petit à petit,

Puis je vis quelques boutiques s’ouvrir.

Je sentis l’odeur exquise du pain frais,

je courus vers la boulangerie pour contempler les pâtisseries qui m’appellent ,

Mais je dois résister à cette envie d’en acheter .

 

J’envie ces personnes entrant dans ce restaurant ,

Là où tout a l’air si appétissant .

Au loin, j’aperçois une fête,

des gens entament leur bonheur,

En commençant leur malheur.

 

J’avance de plus en plus ,

Et je vois deux jeunes adolescents heureux et amoureux.

Tout ce que je n’ai jamais vécu.

 

Le soleil se couche et le lion de Belfort s’éteint.

Je reste une carpe, car dans ce milieu certaines personnes,

Jouent de votre situation et vous prennent pour cible.

 

Pauline BESSET et Léa PHILIPPE

4ème C

 

La rue piétonne de Belfort

Hier après-midi, quand je me baladais, j’ai découvert cette rue

Hier après-midi cette rue était pleine de vie et d’enthousiasme

Elle était belle, propre, sans voiture et pleine de commerces

Elle reflétait tel un miroir la joie et la bonne humeur

Aujourd’hui je m’y plais

Aujourd’hui j’ai fait de belles rencontres

En été, le vendeur de glaces fait fureur

En hiver, c’est celui de marrons chauds

Et je me suis rendu compte que c’était la plus belle rue de Belfort

Et j’ai su que son nom était la rue piétonne.

ALBIZZATI Lucas, GETE Gaëtan 4°C

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